vendredi 9 mars 2012

Préquel ? Suivant du précédant ? Antérieur au futur ???

Chuis en train d'écrire le billet précédant, qui sera publié plus tard, passkié pas terminé, et là j'écris une phrase, et je me rend compte que c'est la première ligne d'une toune de Charlebois pis que c'est pas fair de se servir d'une ligne sans avoir au moins la décence de mentionner l'auteur de la dite.

Tsé "Dans mon livre à moué", tout le monde dit ça à un moment donné, t'as le droit, c'est pas un crime.

Sauf qui faudrait pas oublier que, tel qu'on l'a appris à TLMEP, la ligne est une création de Rémy Girard, à mon avis dans le top 3 des acteurs/comédiens au Québec.

Y avait que Girard pour me faire tolérer "De père en flic" plus de 15 minutes.

"Tout ça a commencé sur les plaines d'Abraham", ça a été écrit par Claude Péloquin, mis en musique par Charlebois dans la toune "Entre deux joints", qui n'a vraiment pas besoin de présentation.




Brève intro à la bête.



Claude Péloquin est un poète, écrivain, chanteur, scénariste et réalisateur québécois né en 1942.
Il a écrit les paroles de plusieurs chansons, dont les plus célèbres sont Monsieur l'Indien et Lindberg. Cette dernière, interprétée par Robert Charlebois et Louise Forestier, permet à Péloquin de remporter le Prix Félix-Leclerc pour la « meilleure composition canadienne de l'année » en 1969.

Je me permet d'ajouter ; Méchant sauté qui a pondu, appuyé du multi instrumentiste Jean Sauvageau cet album de génie, dont je t'offre un extrait, "Émiliano" totalement déjanté, si y te reste un fond de baggies de happy gazon, c'est le temps ou jamais.



Ciao.

Yanu,,,,,?? Ynua ?? Yaun ?? téka...

3 commentaires:

  1. Ce même Claude Péloquin qui nous a donné : "Vous n'êtes pas écœurés de mourir, bande de caves" écrit sur le mur principal du Grand Théâtre de Québec.

    Quel poète !

    Quel génie!

    Bonne journée, Yanu... ? Ynua ?? Yaun ??

    Est-ce le changement d'heure à venir qui te perturbe ainsi... ?

    Marjo

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  2. Les facteurs pertubatoires étaient pas mal plus présents lors de ma première écoute de "Émiliano", broue, fond de baggies, les seventies.
    Je vois que la nostalgie.

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  3. J'allais écrire le même genre de truc que Marjo, la phrase célèbre écrite au Grand Théâtre ;)...
    Moi, le changement d'heure me perturbe: j'aime pas quand il fait clair tard!!...J'aime souper avec des chandelles et que les enfants aient l'impression qu'il est tard tôt ;) (Pour les coucher quand il fait noir!) Enfin, je suis en train d'élaborer sur le commentaire de Marjo et non pas sur ton billet....J'ai le droit hein?!

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