-Quand je prend une certaine route, environ à 100 kilomètres de chez moi, on dirait que ce n'est que là que je réalise que je suis vraiment en vacances.
-Une journée de congé, la nébulosité s'accroît dans ma (très grande) tasse de café, je mets mon téléphone en marche,,,,pas de messages, immense sourire.
-Quand le CH en perd 2 ou 3 de file, le hockey m'indifère mais je bosse avec avec des hardcore fans.
-Quand je voie ce pauvre type faire du plat à une nana vraiment, mais alors là vraiment hors de sa ligue, (you know a 4 vs a 10) ou encore la nana est déjà matché et heureuse avec son mec.
Précision. J'me réjouis pas de la déception du pauvre gars qui vas se planter dans le mur implacable de la froide et cruelle réalité.
C'est la danse, le pantomime de la séduction apprise dans les livres, préprogrammée, insipide, primitive, qui me fait sourire.
-Début juin, sur le côté de la route, un de ces infernaux Honda Civic hatchback des années 90, rouge dans ce cas ci, muni d'un de ces "silencieux" de type tuyau de poêle capables d'enterrer le bruit d'un show Heavy Métal.
Le conducteur, eh que je suis poli là, de bas en haut, running non lacés, hauteur du genoux oh surprise, la fourche, de la haute couture inversée, en bas des fesses, resurprise la ceinture, doit pas être chaud en hivers, coton ouaté à capuchon de couleur indéfinissable, visage blême, boutonneux, éteint, un dessin des Simpson tient.
Notre spécimen n'a pas encore résolu l'énigme de la calotte, euhh cé ou ksa va ça la palette ?
Quant à moi la question serait ; Pourquoi une casquette quand il fait 22 degrés ???
Mais le sourire dans tout ça ?
J'y arrive.
Derrière la bagnole, une autre, de la Sûreté du Québec.
Un flic affairé à rédiger ce que j'imagine et espère un méga ticket oh combien mérité.
On a pas revu ni entendu le petit morveux depuis.
Énorme, gigantesque sourire.
Yuan
vendredi 30 septembre 2011
dimanche 25 septembre 2011
...De A à Z mais avec un twist.
Je cherche, je cherche, je cherche.
L'attaque, l'angle, la trouvaille.
J'ai une idée dans la tête, une bonne je crois, mais je ne parviens pas à la verbaliser.
J'me suis donc dis, commence, aligne des mots, comme un démarreur en vient qu'à démarrer un moteur beaucoup plus imposant que lui, peut-être qu'en startant kekchose l'enchaînement va s'imposer.
Ça a marché dans la plupart de mes billets précédant, s'agit de décoller et ça finit par couler de source.
La base, dans l'optique de me livrer en pâture à ton intarissable curiosité, c'est de faire une liste, façon de "A" jusqu'à "Z", mais pas trop cucul.
Qui est tu Yuan Anonymus ? A pour Amour, B pour bonheur, C pour circoncis,,,,, je laisse ça à "7 jours" ou "La Semaine avec le gars à lunettes".
Je défèque pas sur le concept pour autant, faudrait agrémenter, ajouter un twist, ou deux, ou, qui sait, peut-être trois.
Certains blogueurs, que je tiens en haute estime, proposent des "Top 5" ou des "Top 10", ça se conçoit, ça peut se concevoir, comme tu peux le constater, j'hésite.
Y a aussi, "Sur une échelle de 1 à 10, diriez vous que,,,,bla, bla,bla,,,,,,,. Un peu mieux que se concevoir, ça se conceptualise, tranquillement, timidement mais assez sûrement.
Réalise tu que t'es témoin d'une naissance, sacré privilégié va.
Synthétisons, une grande ligne et deux possibles twists, pourtant, pourtant, je suis toujours confituré, ni que j'avance, ni que je recule, j'ai un peu peur de brûler ma clutch, ce qui me laisserais embourbé dans mon sur-place.
J'attend toujours le flash, l'étincelle.
Il est très rare, dans mon cas du moins, qu'un billet se rédige d'un seul trait, conséquemment on est rendu demain, ou plutôt aujourd'hui considérant que ce qui précède était hier.
Ça va, t'es toujours là ?
Good !!!
La nuit ayant respecté la tradition et du même coup le vieil adage, j'y vois un peu plus clair depuis que j'ai ouvert les yeux.
Dieu merci, puisqu'au cas contraire je serais devenu aveugle, sans même m'en apercevoir, pendant mon sommeil.(ici ça m'a sérieusement tenté d'écrire mon sommeil endormi, je me retins, considérant qu'il devrait y avoir des limites à la cabotinerie).
La cécité, c'est si terrible, tu vois.
Une liste donc, des questions peut-être.
Je crois que je vais flusher l'alphabet, trop contraignant, trop restrictif, puis, au fond ça sert pas nécessairement la cause.
Bin sûr que sur "A" tu dois associer Amour, justement,connais-tu kekun qui aime pas ça
l'Amour ? Ou qui aurait envie de répondre
"L'Amour ? ok mais à 70%" ? Pas moi.
Donc, faille, ou pour faire web 2.0, fail.
S'qui faut c'est des thèmes, c'est ça des thèmes, hihihi ça y est, Euréka comme dirait Dimitri Prostatokilos.
L'éclair, et devant tes yeux, chanceux.
Conçu, conceptualisé, accouché.
Veni, vidi, vici.
Du grec, du latin, ch'te dis que Yuan est de bonne humeur là.
À l'avenir, quand j'ai besoin d'une idée, boum, une sieste.
Le boss te réveille en hurlant "S'tu fais là kôliss ? tu dors ?"
"Mon corps, a l'air de dormir, mais mes neurones boss, mes milliards de neurones, boss, bossent pour vous, et au même tarif."
C'est pas tous les boss qui saisissent bien les sinueux chemins de la créativité pure.
Pauvre boss, à juger par la pauvreté et l'aspect primal de son vocabulaire quand y s'énerve, y doit sûrement manquer de sommeil.
Des thèmes, des thèmes, des thèmes.
"Et vous mossieur Yuan, quelle est votre vision sur l'épineuse question de ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,"
Géniale simplicité.
Toutefois, exiger des réponses courtes, pas de développement.
Ce Yuan, ce qu'il peut s'éparpiller des fois.
Il est temps de jetter sur un tas des idées, des idées de thème, sans trop y penser, on fera le tri plus tard.
Tas d'idées ---> DSK, Charest, les ponts, le PQ, Legault/ADQ, Claude Robinson, TLMEP, éducation, santé, garderie, l'Islam(pourquoi on prend pas de chances et on l'écrit avec une majuscule), les changements climatiques, le prix du pétrole, les frais bancaires, les femmes, les hommes, les autres, chien ou chat, crémeuse ou traditionnelle, les bagnoles, les vélos, les motos, Israël(encore la majuscule), Obama, Bush, Sarko, l'euro, l'or, la paix
,la guerre, le mariage et son indispensable complément le divorce, le deuil, la mort(je suis contre à 110%, et ça vient premier dans mon top 100 de chose que j'haïs), le net, la téloche, les textos, le ipad, le iphone, la miouze, la télé réalité, les blogs, mon blog, l'amitié, l'ennemitié, le ciel, l'enfer, la/les religions, <--
Et ça ç'est presque sans y penser.
Un simple tas, dont le tri va m'inspirer, à coup sûr, d'autres thèmes.
J'y pense, si t'as des trucs à rajouter, vas-y, te gènes pas, après tout, c'est toi qui veut savoir.
La forme, le fond, tout est là.
Comment ???
Comment ça le billet ???
Y va faloir que tu te contente du making of pour tusuite, parceque j'ai travaillé très fort là, et que là, j'ai sommeil.
Yuan
Certains blogueurs, que je tiens en haute estime, proposent des "Top 5" ou des "Top 10", ça se conçoit, ça peut se concevoir, comme tu peux le constater, j'hésite.
Y a aussi, "Sur une échelle de 1 à 10, diriez vous que,,,,bla, bla,bla,,,,,,,. Un peu mieux que se concevoir, ça se conceptualise, tranquillement, timidement mais assez sûrement.
Réalise tu que t'es témoin d'une naissance, sacré privilégié va.
Synthétisons, une grande ligne et deux possibles twists, pourtant, pourtant, je suis toujours confituré, ni que j'avance, ni que je recule, j'ai un peu peur de brûler ma clutch, ce qui me laisserais embourbé dans mon sur-place.
J'attend toujours le flash, l'étincelle.
Il est très rare, dans mon cas du moins, qu'un billet se rédige d'un seul trait, conséquemment on est rendu demain, ou plutôt aujourd'hui considérant que ce qui précède était hier.
Ça va, t'es toujours là ?
Good !!!
La nuit ayant respecté la tradition et du même coup le vieil adage, j'y vois un peu plus clair depuis que j'ai ouvert les yeux.
Dieu merci, puisqu'au cas contraire je serais devenu aveugle, sans même m'en apercevoir, pendant mon sommeil.(ici ça m'a sérieusement tenté d'écrire mon sommeil endormi, je me retins, considérant qu'il devrait y avoir des limites à la cabotinerie).
La cécité, c'est si terrible, tu vois.
Une liste donc, des questions peut-être.
Je crois que je vais flusher l'alphabet, trop contraignant, trop restrictif, puis, au fond ça sert pas nécessairement la cause.
Bin sûr que sur "A" tu dois associer Amour, justement,connais-tu kekun qui aime pas ça
l'Amour ? Ou qui aurait envie de répondre
"L'Amour ? ok mais à 70%" ? Pas moi.
Donc, faille, ou pour faire web 2.0, fail.
S'qui faut c'est des thèmes, c'est ça des thèmes, hihihi ça y est, Euréka comme dirait Dimitri Prostatokilos.
L'éclair, et devant tes yeux, chanceux.
Conçu, conceptualisé, accouché.
Veni, vidi, vici.
Du grec, du latin, ch'te dis que Yuan est de bonne humeur là.
À l'avenir, quand j'ai besoin d'une idée, boum, une sieste.
Le boss te réveille en hurlant "S'tu fais là kôliss ? tu dors ?"
"Mon corps, a l'air de dormir, mais mes neurones boss, mes milliards de neurones, boss, bossent pour vous, et au même tarif."
C'est pas tous les boss qui saisissent bien les sinueux chemins de la créativité pure.
Pauvre boss, à juger par la pauvreté et l'aspect primal de son vocabulaire quand y s'énerve, y doit sûrement manquer de sommeil.
Des thèmes, des thèmes, des thèmes.
"Et vous mossieur Yuan, quelle est votre vision sur l'épineuse question de ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,"
Géniale simplicité.
Toutefois, exiger des réponses courtes, pas de développement.
Ce Yuan, ce qu'il peut s'éparpiller des fois.
Il est temps de jetter sur un tas des idées, des idées de thème, sans trop y penser, on fera le tri plus tard.
Tas d'idées ---> DSK, Charest, les ponts, le PQ, Legault/ADQ, Claude Robinson, TLMEP, éducation, santé, garderie, l'Islam(pourquoi on prend pas de chances et on l'écrit avec une majuscule), les changements climatiques, le prix du pétrole, les frais bancaires, les femmes, les hommes, les autres, chien ou chat, crémeuse ou traditionnelle, les bagnoles, les vélos, les motos, Israël(encore la majuscule), Obama, Bush, Sarko, l'euro, l'or, la paix
,la guerre, le mariage et son indispensable complément le divorce, le deuil, la mort(je suis contre à 110%, et ça vient premier dans mon top 100 de chose que j'haïs), le net, la téloche, les textos, le ipad, le iphone, la miouze, la télé réalité, les blogs, mon blog, l'amitié, l'ennemitié, le ciel, l'enfer, la/les religions, <--
Et ça ç'est presque sans y penser.
Un simple tas, dont le tri va m'inspirer, à coup sûr, d'autres thèmes.
J'y pense, si t'as des trucs à rajouter, vas-y, te gènes pas, après tout, c'est toi qui veut savoir.
La forme, le fond, tout est là.
Comment ???
Comment ça le billet ???
Y va faloir que tu te contente du making of pour tusuite, parceque j'ai travaillé très fort là, et que là, j'ai sommeil.
Yuan
samedi 17 septembre 2011
...Triumvirat.
Long time no bloy.
T'inquiète, j'ai des ptits pains au four, pour bientôt.
Pour te faire patienter, un peu de miouze.
En 73, j'avais 19 ans.
Mes jeunes neurones ne demandaient qu'a se faire brasser, étourdir.
Ce band, et cette toune, remplissaient cette mission à merveille.
J'te jure, la chaine (audio) dans le tapis, j't'ai d'jà parlé de ce genre de messe, attention à l'orthographe, j'ai bin dit messe, j'en ai perdu le souffle, ressenti les notes jusque dans les orteils, la cage thoraxique travaille autant que les oreilles, ça s'écoute avec le coeur, les poumons, le foie, la Foi.
Crinke le volume et enjoy.
Yuan
T'inquiète, j'ai des ptits pains au four, pour bientôt.
Pour te faire patienter, un peu de miouze.
En 73, j'avais 19 ans.
Mes jeunes neurones ne demandaient qu'a se faire brasser, étourdir.
Ce band, et cette toune, remplissaient cette mission à merveille.
J'te jure, la chaine (audio) dans le tapis, j't'ai d'jà parlé de ce genre de messe, attention à l'orthographe, j'ai bin dit messe, j'en ai perdu le souffle, ressenti les notes jusque dans les orteils, la cage thoraxique travaille autant que les oreilles, ça s'écoute avec le coeur, les poumons, le foie, la Foi.
Crinke le volume et enjoy.
Yuan
jeudi 8 septembre 2011
...Sympatique Bastard
Il m'arrive de fouiller le blogroll des bloyeurs qui m'intéressent, et le blogroll des bloyeurs qui les intéressent, et le blogroll des bloyeurs,,,,,,,,,bon tu voies bin ousse qu'on s'en va.
C'est lors d'une de ces fouilles qu'un titre m'a accroché.
"One Inglorious Bastard"
Tout de suite, je pense au film de Tarantino.
Je pense donc je clique.
Christoph Waltz, étincellant dans le rôle du nazi Hans Landa.
Peu actif sur la blogo, il a publié une dizaine de billet de janvier à septembre 2010.
Plusieurs sont excellents.
En particulier son "2012 selon moi".
Putain j'aurais aimé écrire la dessus.
Trop tard, ça a été fait, et tellement bien fait, je dois m'incliner, non seulement il a dit ce que j'aurais voulu dire, il l'a aussi dit pas mal de la façon dont j'aurais voulu le dire.
Mieux, beaucoup mieux que j'aurais pu le faire, je lui doit bien cet aveu parce que c'est un gars très, très
généreux.
Je l'ai contacté via sa plate-forme "Overblog" pour lui demander la permission de publier son texte.
La courtoisie la plus élémentaire, et le respect de son oeuvre ont dicté ma démarche.
Sa réponse fut rapide et tu le voies bien, positive.
(Le découpage est un peu boiteux, coupable votre seinsingerie, trop paresseux pour recopier, j'ai fait copier/coller, pardon? oui j'ai honte votre horreur, si je vais recommencer ? probablement)
Donc voici !!!
2012 selon moi
Après quelques livres et un film à grand budget, voici ce qui se passera réellement le 21 décembre 2012.
15 décembre 2012: à une semaine de la grande catastrophe, un mouvement de panique se fait sentir. On liquide les actions, les restaurants sont plein à craquer et on se met à dépenser.
18 décembre 2012: 3 jours seulement. Les compagines aériennes cancellent les vols d'avion.
21 décembre 2012: Jour J. Les gens ayant pour la plupart liquidés leurs actions, le marché boursier crashe. Wall Street tombe en pleine crise. Les gens, affolés, brisent des vitrines,
volent des télévisions qui leur seront très utiles d'ailleurs. Le crime augmente, les casseurs se multiplient et la police perd le contrôle. Les escouades anti émeute n'en peuvent plus. Ils
lancent les gaz lacrymogènes, utilisent les balles de caoutchouc et les grenades paralysantes.
Un passant reçoit une balle en pleine figure et perd un oeil. Quatre individus se font tabasser à coups de matraque. Un d'eux perd connaissance.
Les gens utilisent tous leur téléphone cellulaire, paniqués, ce qui créé une congestion des réseaux téléphoniques. Même chose avec internet. On Twit sur ce qu'on voit autour de nous,
sans pourtant réagir. On perd tranquillement les communications tellement les serveurs sont débordés. À la télé, on nous fait signe de rester calme, puit un journaliste se fait frapper par
une bande de gens cagoulés, en direct à la télé. Une automobile est renversé, puis une autre.
2 incendies se déclarent dans des édifices commerciaux. On entend des coups de feu.
Dans certains pays, on voit des tonnes de gens rassemblés pour prier et implorer le pardon.
Dans d'autres pays, les gouvernements sont renversés par la force des armes.
Les épiceries sont dévalisées. On se bat pour des conserves. Quelqu'un filme un incendie lorsqu'il aperçoit quelqu'un tomber de son balcon situé au 12e étage d'un édifice. Un bruitsourd...deux automobiles sont entrées en collision. les gens, appeurés, trouvent refuge dans le métro. Il y a trop de gens et certains se font piétiner. Dans les rues, c'est pareil. Trois personnes sont en train de violer une femme dans une ruelle tandis que sa fille git inconsciente non loin de là, surement battue.
22 décembre 2012: La fin du monde ne s'est finalement pas présentée. Aucune météorite n'a frappé la terre. Aucune vague n'est venu raser le continent. Les avions reprennent les vols,
Wall Street continue à rouler et la terre n'a pas explosé. L'air est aussi frais et le ciel est blanc. Une fine neige commence à tomber dans les rues..la première neige de l'hiver.
La seule chose qui a été détruite...c'est notre humanité. Cette essence qui fait que nous sommes capable de grandes choses. Cette force de vivre qui nous ralie ensemble dans les moments durs. Cette force, elle a disparue. On regarde nos voisins avec un sourire forcé, sachant très bien que la situation n'est pas propice au rire. Puis, un coup de feu retenti dans e silence. Un homme git sur le trottoir avec un trou de la grosseur d'une ballede golf en plein crâne. Il a vu la vraie fin du monde. Peut-être a-t-il réalisé l'impact de son geste lorsqu'il a frappé une jeune fille avant de violer sa mère avec deux de ses amis.
Bang!! Un autre coup de feu....
Une corde se noue dans un placard..et on entend un autre coup de feu.
Et un autre....
La fin du monde est arrivée.
Pour visiter,,,,,,
http://thebastard.over-blog.fr/
Yuan
C'est lors d'une de ces fouilles qu'un titre m'a accroché.
"One Inglorious Bastard"
Tout de suite, je pense au film de Tarantino.
Je pense donc je clique.
Je ne me suis pas trompé, dans un de ses billets il encense "Inglorius Basterds", j'ai moi aussi adoré ce film, dans mon top 5 , indubitablement.
Peu actif sur la blogo, il a publié une dizaine de billet de janvier à septembre 2010.
Plusieurs sont excellents.
En particulier son "2012 selon moi".
Putain j'aurais aimé écrire la dessus.
Trop tard, ça a été fait, et tellement bien fait, je dois m'incliner, non seulement il a dit ce que j'aurais voulu dire, il l'a aussi dit pas mal de la façon dont j'aurais voulu le dire.
Mieux, beaucoup mieux que j'aurais pu le faire, je lui doit bien cet aveu parce que c'est un gars très, très
généreux.
Je l'ai contacté via sa plate-forme "Overblog" pour lui demander la permission de publier son texte.
La courtoisie la plus élémentaire, et le respect de son oeuvre ont dicté ma démarche.
Sa réponse fut rapide et tu le voies bien, positive.
(Le découpage est un peu boiteux, coupable votre seinsingerie, trop paresseux pour recopier, j'ai fait copier/coller, pardon? oui j'ai honte votre horreur, si je vais recommencer ? probablement)
Donc voici !!!
2012 selon moi
Après quelques livres et un film à grand budget, voici ce qui se passera réellement le 21 décembre 2012.
15 décembre 2012: à une semaine de la grande catastrophe, un mouvement de panique se fait sentir. On liquide les actions, les restaurants sont plein à craquer et on se met à dépenser.
18 décembre 2012: 3 jours seulement. Les compagines aériennes cancellent les vols d'avion.
21 décembre 2012: Jour J. Les gens ayant pour la plupart liquidés leurs actions, le marché boursier crashe. Wall Street tombe en pleine crise. Les gens, affolés, brisent des vitrines,
volent des télévisions qui leur seront très utiles d'ailleurs. Le crime augmente, les casseurs se multiplient et la police perd le contrôle. Les escouades anti émeute n'en peuvent plus. Ils
lancent les gaz lacrymogènes, utilisent les balles de caoutchouc et les grenades paralysantes.
Un passant reçoit une balle en pleine figure et perd un oeil. Quatre individus se font tabasser à coups de matraque. Un d'eux perd connaissance.
Les gens utilisent tous leur téléphone cellulaire, paniqués, ce qui créé une congestion des réseaux téléphoniques. Même chose avec internet. On Twit sur ce qu'on voit autour de nous,
sans pourtant réagir. On perd tranquillement les communications tellement les serveurs sont débordés. À la télé, on nous fait signe de rester calme, puit un journaliste se fait frapper par
une bande de gens cagoulés, en direct à la télé. Une automobile est renversé, puis une autre.
2 incendies se déclarent dans des édifices commerciaux. On entend des coups de feu.
Dans certains pays, on voit des tonnes de gens rassemblés pour prier et implorer le pardon.
Dans d'autres pays, les gouvernements sont renversés par la force des armes.
Les épiceries sont dévalisées. On se bat pour des conserves. Quelqu'un filme un incendie lorsqu'il aperçoit quelqu'un tomber de son balcon situé au 12e étage d'un édifice. Un bruitsourd...deux automobiles sont entrées en collision. les gens, appeurés, trouvent refuge dans le métro. Il y a trop de gens et certains se font piétiner. Dans les rues, c'est pareil. Trois personnes sont en train de violer une femme dans une ruelle tandis que sa fille git inconsciente non loin de là, surement battue.
22 décembre 2012: La fin du monde ne s'est finalement pas présentée. Aucune météorite n'a frappé la terre. Aucune vague n'est venu raser le continent. Les avions reprennent les vols,
Wall Street continue à rouler et la terre n'a pas explosé. L'air est aussi frais et le ciel est blanc. Une fine neige commence à tomber dans les rues..la première neige de l'hiver.
La seule chose qui a été détruite...c'est notre humanité. Cette essence qui fait que nous sommes capable de grandes choses. Cette force de vivre qui nous ralie ensemble dans les moments durs. Cette force, elle a disparue. On regarde nos voisins avec un sourire forcé, sachant très bien que la situation n'est pas propice au rire. Puis, un coup de feu retenti dans e silence. Un homme git sur le trottoir avec un trou de la grosseur d'une ballede golf en plein crâne. Il a vu la vraie fin du monde. Peut-être a-t-il réalisé l'impact de son geste lorsqu'il a frappé une jeune fille avant de violer sa mère avec deux de ses amis.
Bang!! Un autre coup de feu....
Une corde se noue dans un placard..et on entend un autre coup de feu.
Et un autre....
La fin du monde est arrivée.
Pour visiter,,,,,,
http://thebastard.over-blog.fr/
Yuan
mardi 6 septembre 2011
jeudi 1 septembre 2011
Les mots dits,,,,
Les mautadits mots que t'as dit, maudit.
La mére elle aurait dit "soda", ou "mautadit", biblique superstition j'imagine.
Les mots me font tripper, ce qu'on peut faire avec, comment on les tourne, comment on les twiste, comment on les triche.
Parce que jouer avec les mots, c'est en un sens tricher, les tricher.
Les tricher de leur sens réel, leur en donner un deuxième, un troisième parfois.
J'admire les grands tricheurs de la langue, je les envie.
Pas les tricheurs au quotidien, les menteurs, les poseurs, les bullshitteux.*(mini quizz; comment on dit bull shit en espagnol ?) Non pas eux. Eux ils me répugnent.
Alexandre Astier, auteur de la série Kaamelot, est un de ces génies de la langue, ses dialogues sont des perles, des délices, surfants tantôt sur l'époque médiévale, tantôt sur des phrasés nettement contemporains, il maitrise ces incongruités temporelles à merveille.
Toujours en Europe, Frédéric Dard, alter ego du commissaire San Antonio a pondu pas moins de 288 romans, et vingt pièces de théatre, oeuvre humoristique colossale parsemée de bijoux linguistiques , j'allais dire inoubliables et je me rend compte que ironiquement j'en ai oublié tout un tas.
Néanmoins, à explorer.
Chez nous, Gilles Vigneault, le grand poete, Claude Meunier, le petit comique, Victor-Lévy Beaulieu, le regrèté Marc Favreau l'unique Sol, Yvon Deschamps, Michel Beaudry, Daniel Lemire , Pierre Légaré et j'en oublie c'est sûr.
Mais y en a un que je n'oublierai pas.
Le "conteux" de St-Élie de Caxton, Fred Pellerin.
Lui, il me fascine, littéralement, littérairement, et pis eweille donc, latéralement tant qu'a y être.
Il a déjà dit à Marie-France Bazzo en entrevue, "Si j'ai besoin d'un mot pis qui existe pas, je l'invente".
C'est ça son génie, il est non seulement un conteux, il est aussi un inventeux de mots.
Toujours dans le strict respect de la langue française, sans jamais la trahir, sans jamais l'éclabousser, avec affection, avec ostentation, comme on traite un bébé naissant, délicatesse, émotion, admiration infinie face au miracle.
Pourquoi y nous conte tout ça, te dis tu ?
Y s'prend tu pour Fred Pellerin ?
Mautadit non.
(variante judéo-chrétienne de "Hell no")
C'est certain que je me prend pour un autre parfois, souvent même, mais c't'autre là, tu le connais pas personne le connait, que moi.
J'te conte tout ça pour essayer de te faire connaitre et comprendre quels auteurs et surtout quels styles d'auteurs ont ou ont eu quelques influences sur ma plume.
Tu vois, je trouve ça prétentieux de parler de ma plume. Dire crayon au plomb serait plus exact.
Ces types dont je t'ai causé plus haut, je réalise là, tout d'un coup,qui a pas de dames dans la liste, ce sont des sources d'inspiration, des mentors ignorants de leur mentorité, tiens une Pellerinade.
Dans mes modestes écrits, j'essaie de créer une couleur qui me soit propre, d'explorer des territoires, de me les approprier, de les apprivoiser.
Je pratique la transgression des règles grammaticales avec application et délectation.
Ainsi, quand j'écris ; "je sais pas" ou "chais pas" au lieu de "je ne sais pas" , c'est pas de la paresse ou de l'ignorance, c'est voulu comme ça.(ou comme cela).
Ça fait partie de l'embryon de couleur que je veux donner à mon blogue (moi je préfère bloye).
J'écris un peu, et parfois beaucoup comme je parle.
Parfois châtié, parfois slawppé.
S'il fallait tous écrire nos histoires à la manière de Daniel Lemire, bin on écrirais tous du Daniel Lemire, ce s'rait quoi l'intéret ?
Your point, pal ?
My point.
Pour Maame Corriveau, ma proffe de 7ème année, eh oui, j'ai fait une 7ème année, j'écris mal, je respecte pas les règles de la syntaxe et de la grammaire, je suis un cancre, une tête de mûle, je fais des fautes d'orthographe, je suis le diable, je me demande bien ce que je ferai de bon plus tard, je pense que t'as saisi l'essence de Maame Corriveau, et de nos harmonieuses relations.
Mais voilà, c'est pas pour les Maame Corriveau que j'écris, c'est pour moi, et aussi c'est pour toi, si t'aime pas, tu tournes la page et on en parle plus, si t'aime, rien ne me fait plus plaisir et honneur, amuse toi, comme je m'amuse à l'écrire, parles-z-en à tes copains/pines, plus on est de fous,,,,,
Yuan
*réponse du mini quizz: caca del torro
*Update, Le flic a été admis dans une maison de soins palliatifs.
Yuan
La mére elle aurait dit "soda", ou "mautadit", biblique superstition j'imagine.
Les mots me font tripper, ce qu'on peut faire avec, comment on les tourne, comment on les twiste, comment on les triche.
Parce que jouer avec les mots, c'est en un sens tricher, les tricher.
Les tricher de leur sens réel, leur en donner un deuxième, un troisième parfois.
J'admire les grands tricheurs de la langue, je les envie.
Pas les tricheurs au quotidien, les menteurs, les poseurs, les bullshitteux.*(mini quizz; comment on dit bull shit en espagnol ?) Non pas eux. Eux ils me répugnent.
Alexandre Astier, auteur de la série Kaamelot, est un de ces génies de la langue, ses dialogues sont des perles, des délices, surfants tantôt sur l'époque médiévale, tantôt sur des phrasés nettement contemporains, il maitrise ces incongruités temporelles à merveille.
Toujours en Europe, Frédéric Dard, alter ego du commissaire San Antonio a pondu pas moins de 288 romans, et vingt pièces de théatre, oeuvre humoristique colossale parsemée de bijoux linguistiques , j'allais dire inoubliables et je me rend compte que ironiquement j'en ai oublié tout un tas.
Néanmoins, à explorer.
Chez nous, Gilles Vigneault, le grand poete, Claude Meunier, le petit comique, Victor-Lévy Beaulieu, le regrèté Marc Favreau l'unique Sol, Yvon Deschamps, Michel Beaudry, Daniel Lemire , Pierre Légaré et j'en oublie c'est sûr.
Mais y en a un que je n'oublierai pas.
Le "conteux" de St-Élie de Caxton, Fred Pellerin.
Lui, il me fascine, littéralement, littérairement, et pis eweille donc, latéralement tant qu'a y être.
Il a déjà dit à Marie-France Bazzo en entrevue, "Si j'ai besoin d'un mot pis qui existe pas, je l'invente".
C'est ça son génie, il est non seulement un conteux, il est aussi un inventeux de mots.
Toujours dans le strict respect de la langue française, sans jamais la trahir, sans jamais l'éclabousser, avec affection, avec ostentation, comme on traite un bébé naissant, délicatesse, émotion, admiration infinie face au miracle.
Pourquoi y nous conte tout ça, te dis tu ?
Y s'prend tu pour Fred Pellerin ?
Mautadit non.
(variante judéo-chrétienne de "Hell no")
C'est certain que je me prend pour un autre parfois, souvent même, mais c't'autre là, tu le connais pas personne le connait, que moi.
J'te conte tout ça pour essayer de te faire connaitre et comprendre quels auteurs et surtout quels styles d'auteurs ont ou ont eu quelques influences sur ma plume.
Tu vois, je trouve ça prétentieux de parler de ma plume. Dire crayon au plomb serait plus exact.
Ces types dont je t'ai causé plus haut, je réalise là, tout d'un coup,qui a pas de dames dans la liste, ce sont des sources d'inspiration, des mentors ignorants de leur mentorité, tiens une Pellerinade.
Dans mes modestes écrits, j'essaie de créer une couleur qui me soit propre, d'explorer des territoires, de me les approprier, de les apprivoiser.
Je pratique la transgression des règles grammaticales avec application et délectation.
Ainsi, quand j'écris ; "je sais pas" ou "chais pas" au lieu de "je ne sais pas" , c'est pas de la paresse ou de l'ignorance, c'est voulu comme ça.(ou comme cela).
Ça fait partie de l'embryon de couleur que je veux donner à mon blogue (moi je préfère bloye).
J'écris un peu, et parfois beaucoup comme je parle.
Parfois châtié, parfois slawppé.
S'il fallait tous écrire nos histoires à la manière de Daniel Lemire, bin on écrirais tous du Daniel Lemire, ce s'rait quoi l'intéret ?
Your point, pal ?
My point.
Pour Maame Corriveau, ma proffe de 7ème année, eh oui, j'ai fait une 7ème année, j'écris mal, je respecte pas les règles de la syntaxe et de la grammaire, je suis un cancre, une tête de mûle, je fais des fautes d'orthographe, je suis le diable, je me demande bien ce que je ferai de bon plus tard, je pense que t'as saisi l'essence de Maame Corriveau, et de nos harmonieuses relations.
Mais voilà, c'est pas pour les Maame Corriveau que j'écris, c'est pour moi, et aussi c'est pour toi, si t'aime pas, tu tournes la page et on en parle plus, si t'aime, rien ne me fait plus plaisir et honneur, amuse toi, comme je m'amuse à l'écrire, parles-z-en à tes copains/pines, plus on est de fous,,,,,
Yuan
*réponse du mini quizz: caca del torro
*Update, Le flic a été admis dans une maison de soins palliatifs.
Yuan
Inscription à :
Articles (Atom)