mercredi 14 décembre 2011

Cé qui, qui a mis la mélasse dans le fridge ???

Update; Chuis toujours au 7ème ciel.



Un bon matin tu te lève et tu feele pour un bon plat de m'lasse.


La m'lasse moi ça me vient de mon enfance.


La mére croyait que c'était bon pour la santé la m'lasse, et je le croirait aussi.


Elle avait mitonné une concoction m'lasse/souffre pour ma soeur pour j'me rappelle pus quelle maladie, la grippe ? la fièvre ? la folie ?


(Pour la folie, ça a pas marché mais on t'aime pareil la grande.)


C'que j'oublierai jamais, mon olfactif me l'a gravé à jamais sur le disque mou, c'est les émanations,,,, POUACHE,,,, de quoi écoeurer une colonie de mouffettes.


On avait compris que c'était beaucoup plus une menace, qu'un remède, très jeune, j'ai connu ça moi, l'effet placebo.





Le fridge ? La m'lasse ? Rapport man rapport ?



Quand t'es dans l'attente de kekchose de BIG, de vraiment très, très Big, me semble que le temps passe comme de la mélasse que tu sort du fridge.


T'attend, t'attend pis t'attend.


Kess t'attend me diras tu ?


Chais pas trop, le timing, le bon timing, pour moi, pour l'autre. 


La dernière phrase est un gros mensonge, je sais très bien après quoi j'attend.


Tu vois, un move  comme celui qui se prépare aura un effet majeur non seulement sur ma vie, sur mon avenir, mais également sur bien des gens.


Des gens que je connais bien, mais aussi sur des gens  que ne connais que très peu, et dans tous les cas, des gens qui seront extrêmement surpris, voire choqués.


Si j'ai choisi de ne rien révéler ici, sur le bloye, c'est pour maintenir l'état d'esprit nécessaire, car je brûle, je bouillonne de te partager des bribes ou même la totalité de ce fascinant et passionnant développement.


Je sais que les chances que quiconque découvre, via ce carnet, ce qui se trame dans ma petite vie personnelle, sont tout près de nulles, néanmoins, question de discipline,  je préfère accorder mon monde virtuel à mon monde réel.


T'as pas appris grand chose, n'est-il-pas ?


Tu te sens niaisé ?


Faut me comprendre.


Faut me pardonner.


Je ne peux pas manquer mon coup, je ne peux pas tchoker, c'est trop big, c'est trop déterminant, c'est trop toute.*


Je veux bin cependant te lancer un os, un tout petit os, un osselet, un heureux petit osselet, voilà.


À l'issue de cette histoire il n'y aura aucun cocu ni cocue, ni de foyer brisé.


Yuan


* As tu remarqué que quand je cause sérieusement, la qualité de mon orthographe se bonifie.


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